Kopp Marie Annick
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Psychothérapie
Suivi individuel
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« Je n'ai pas eu le sentiment d'être entendue dans ma détresse. Sans doute avais je trop attendu pour que ma communication soit positive. Mais lorsque l'on vient chercher une thérapeute, c'est qu'on ne va pas bien. J'ai très bien été accueillie au départ, lors de nos trois premières prises de contact orales : tout m'allait, les règles concernant les horaires, la confidentialité, sa diligence à vouloir nous sortir de l'impasse, mon compagnon et moi, puis tout a dérapé : cela faisait trop longtemps que nous cherchions quelqu'un, Marc et moi. Je n'ai pu venir, étant épuisée nerveusement et physiquement, elle ne semblait y voir aucun inconvénient, j'ai envoyé une lettre, écrite sur environ une heure, pour faire acte de présence quand même, et proposant un chèque de rémunération du montant d'une séance habituelle. Elle m'annonça sur un ton affable qu'elle lirait ma lettre. J'étais confiante. Je pensais que mon ami était sur la même longueur d'ondes que moi, nous avions besoin d'elle, depuis très longtemps, pour aller mieux. Lorsque je l'ai recontactée, sa voix avait changé : "je ne vous connais pas, vous n'êtes pas ma patiente". Douleur. Le ton était froid. Puis, à mon évocation de la lettre : "ah oui ! (ton froid et distant), je ne fais pas de consultations par téléphone !" jamais je n'avais demandé cela. Elle voulait bien me voir, mais pas nous deux, et elle voulait re-voir Marc d'abord, dès le mardi, et moi le vendredi suivant... "La donne avait changé" et elle m'a reproché de ne pas être venu la première fois. J'étais en arrêt maladie, je ne dormais que deux heures par nuit et j'aurais dû partir du 95 deux heures et demies à l'avance en voiture pour être à l'heure au rendez vous, et repartir ensuite vers 21h dans le froid et le noir ( novembre )jusque chez moi... J'étais desespérée, j'ai pété un câble... Et je lui en veux, évidemment. Notre relation avait besoin de soins intenses, pas uniquement du côté de Marc ou de moi, mais de notre couple chancelant : on n'y croyait plus trop, mais on voulait encore y croire, une lueur d'espoir... Ses commentaires sur mon agressivité ont achevé de détourner Marc de ma personne. Et pourtant... Il me désire encore, mais ne veut plus construire. »