Un scandale sanitaire en perspective. : discussion

le 12/07/2017 à 09h49
Enfants, nous fûmes vaccinés, normalement dirais-je, avec 3 vaccins. Nous avons vacciné nos enfants puis ce fut le tour de nos petits enfants. Sur conseils d'un parent médecin, mon fils n'a été vacciné qu'à l'âge de 3 ans et il vit parfaitement. Vers 2000, il fallait vacciner les personnels de la petite enfance de l'hépatite A et B avec rappels obligatoires. Puis, ces vaccins ne furent plus obligatoires : soupçons de developper la sclérose en plaque. Vers 2010, il fallait vacciner à outrance contre le H1N1. La ministre de la santé (Bachelot) a fait travailler en vitesse les laboeatoires, constituer des stocks. Les français n'ont pas suivi, les stocks furent détruits et point d'épidémie. Mais, au passage, les laboratoires ont engrangé.
Puis, il y a deux ans, plus de DTP mais il faut passer à 5 vaccins dont l'hépatite A et l'aluminium comme composant chimique. Les français ne sont pas dupes, il s'agit, avant tout, d'affaire de gros sous et non pas d'un problème de santé.
Et maintenant 11 VACCINS vont être obligatoires, injectés à des nourrissons qui n'ont pas leur système de défense immunitaire encore établi ! Et le gouvernement veut passer en force ! Et on nous prend pour des idiots avec un grand " C " ! Comment peut on rester insrnsible à ce que cherche à faire la ministre de la santé. Comment laisser faire injecter 11 vaccins dans le corps d'un tout petit, alors que l'on sait sait que le meilleur vaccin est l'allaitement. Comment ne pas croire que ces vaccins n'engendreront pas dans l'avenir dzs complications car la recherche ne possède aucun recul ? Pourquoi l'ensrmble de nos voisins européens n'oblige pas l'injection d'autant de vaccins ?
La ministre a dit sur les ondes d'RTL le 8 juillet dernier "... qu'il s'agira d'une loi qui rendra obligatoire la vaccination mais nous verrons pour rendre possible le refus des parents... " ????? Elle nous prend vraiment pour des idiots avec un grand " C " !
Chaque année ont nous surine sur la vaccination contre la grippe. C'est gratuit ! Certes, mais cotisons pour la sécurité sociale. ... Alors que de sages précautions élémentaires suffisent pour passer au travers de l'épidémie, surtout à nos âges. Je le suis fait vacciner une seule fois et je l'ai payé. Terribles réactions secondaires dues au vaccin.
J'ai signé la pétition qui circule. Nous en avons parlé en famille et entre voisins. Ils ont signé également.

le 13/07/2017 à 09h19
Merci pour ton avis, et je suis ENTIEREMENT d'accord avec toi, il ne s'agit, que d'une affaire de gros sous ! et c'est inhumain que d'infliger ces 11 vaccins à des nourrissons, et de faire passer cette loi, et c'est du n'importe quoi !
(pour reparler du vaccin contre la grippe, un oncle est décédé peu de temps après sa vaccination, et je ne me suis jamais fait vacciner...)

le 13/07/2017 à 09h39
ce vaccins concerne plusieurs maladies paraissant anodines, mais qui en réalités peuvent avoir de graves conséquences (oreillons, rougeole, ...), alors perso je suis pour.
c'est facile de toujours dire que c'est une histoire de profit pour les labos, mais quand il s'agit de nos enfants, je pense qu'il faut prendre toutes les précautions possible.

le 13/07/2017 à 09h53
Je respecte ton avis, mais ne suis pas d'accord, car dans la famille j'ai une personne atteinte de la sclérose en plaques...dûe au vaccin contre l'hépathique ...et une amie également.... donc je suis trés septique pour ces vaccinations....qui vont toucher nos enfants !

le 13/07/2017 à 10h08
ma fille ainée a perdu l'ouie une oreille suite aux oreillons (le nerf a été détruit 100%)...je ne le souhaite pas a d'autres.
mais effectivement il y a aussi des cas suite aux vaccins, j'espere qu'ils en tienne compte et qu'ils les ameliorent au fur et a mesure.

le 13/07/2017 à 10h10
oui

le 15/07/2017 à 14h54
ces maladies dites infantiles peuvent en effet être mortelles ou laisser de graves séquelles; une personne malade peut aussi en contaminer d'autres plus à risques parceque malades, enceintes, adultes ou âgées.
je suis donc pour la vaccination obligatoire contre les maladies infantiles, et si contagieuses, ainsi que pour la vaccination contre la tuberculose; mais je suis contre l'obligation vaccinale, concernant l'hépatite B et le HPV, car la contagion est plus directe (contact sang ou sexe), donc les risques sont moins généralisés;
n'oubliont pas que certaines maladies, comme la variole par exemple ont été éradiquées grâce au vaccin

le 22/07/2017 à 09h00
Les malades qui ont déclarés un sep étaient a priori des porteurs sains. le vaccin 'naurait (et j'écris bien n'aurait) que déclenché la maladie "en avance". En gros, les gens l'auraient déclarée tot ou tard.
et voilà un peu de lecture : [Lien]
Car je comprends parfaitement qu'il est difficile de subir les risques d'actes censés soigner.
Mais quand on prend n'importe quel médicaments c'est pareil. Le paracétamol peut donner des hépatites.
La balance bénéfice -risque est assez compliquée.
Sinon, je suis étonnée que les lobbys des labos, évoqués quand on parle de vaccins, ne le soient jamais quand on parle d'homéopathie, d'huiles essentielles....toutes ces médecines "douces" sur les lesquelles il surfent et se font un pognon de fous.
Sur le pognon que se feront aussi ces labos quand les hospitalisations de malades non vaccinés auront lieu : car qui ? va fabriquer les thérapeuthiques ? qui fournit les médicaments aux hopitaux ?
Le choix est difficile, mais important.
Et il est important aussi, de gardrer à l'esprit que la communication antivax est vachement plus développée que celle du Minsitère ( qui communique comme un blaireau je pense) . Et ça, c'est un gros problème !!

le 22/07/2017 à 16h16
Voilà donc un sujet de conversation qui passionne..., c’est le moins que l’on puisse dire car le sujet est terriblement important !
Dans ce sujet d’actualité, c e qui m’a fait réagir et c’est pour cette raison que j’ai lancé le débat, c’est l’urgence imposée par le Gouvernement. Y-a-t-il vraiment une urgence pour que ces 11 vaccins soient imposés ?
François Hollande, au début de son quinquennat, a mis en place le mariage pour tous. Y-avait-il urgence pour faire passer cette loi alors que d’autres lois beaucoup plus importantes que celle-ci auraient dû être mise en chantier mais n’ont jamais vu le jour (loi travail par exemple) ?
Pourquoi le Gouvernement actuel fait-il passer en force cette obligation de vaccination ? Il faut se rappeler que la ministre de la santé précédente, Marisol Touraine, a été confrontée à la pénurie de vaccins DTP. Du jour au lendemain, ce vaccin, Diphtérie, Tétanos, Polio, a disparu des rayons des pharmacie comme par enchantement : IL N’Y EN A PLUS, IL N’EXISTE PLUS ! Nous avons tous été vaccinés avec ce vaccin et nous avons vacciné nos enfants et petits enfants. Et tout aller bien ! Et puis les laboratoires ont décrété qu’il fallait vacciner les enfants avec 5 vaccins le DTP plus la rougeole et l’hépatite B auquel on associait un adjuvent, l’aluminium. Cette ministre de la santé avait dit non, il n’en est pas question, à la grande satisfaction de grands professeurs comme le professeur Joyeux. ! Mais elle a tourné rapidement sa veste. A la fin du gouvernement précédent, la justice, saisie par un groupe d’associations en partie médicales, a donné raison aux détracteurs et a ordonné à l’ancienne ministre de la santé de faire rétablir le DTP avant le 26 juillet 2017. Voilà pour l’urgence de l’actuel Gouvernement : casser cette ordonnance en détournant l’attention des citoyens par une manœuvre politicienne.
Parlons de la variole. Voici ce que dit le docteur et chercheur Michel de Lorgeri, spécialiste du cholestérol et des médicaments anticholestérol, je le cite :
« Le vaccin contre la variole, ou diverses techniques (c’est une longue histoire) visant à immuniser (organiser l’autodéfense) des sujets avant qu’ils soient exposés au virus, est présenté comme un modèle du genre. Malgré l’absence de donnée scientifiques solides (selon nos normes contemporaines) permettant d’en être sûr, il serait absurde de prétendre que ces techniques d’immunisation préalable étaient inefficaces ou inutiles. Et il serait tout aussi présomptueux de prétendre que le vaccin a éradiqué la variole.»
D’un autre côté, à Haïti, lors du terrible tremblement de terre que ce pays avait subi, le choléra a surgi alors qu’il avait disparu. Pour quelle raison ? Tout simplement parce que les conditions sanitaires élémentaires étaient rompues et il a été prouvé par la suite que ce sont des soldats népalais qui ont introduit cette maladie en venant porter secours à cette population. Pourquoi voit-on des complications médicales en grand nombre après vaccination d’enfants dans les pays du tiers monde ? A cause des conditions sanitaires et de salubrité.
Parlons également du vaccin de la rougeole. Un enfant qui attrape la rougeole ne meurt pas dans tous les cas. Seuls une infime partie d’entre eux décèderont parce qu’ils sont atteints d’un insuffisance médicale (hépatique, rénale…). Or, nous savons qu’un enfant ayant été atteint par la rougeole et guéri, ne l’a contractera plus jamais, même adulte ! Alors qu’un adulte peut contracter la rougeole et en mourir ! Petit, j’ai eu la rougeole comme énormément d’enfants, mon corps était parcouru de rougeur, j’ai eu de la fièvre, mon corps a réagi, je fus mis à l'isolement familial, j’ai été guéri quelques jours plus tard et je sais que je ne la contracterai plus jamais !
Maman, allaitez vos enfants, vous contribuerez à immuniser vos enfants beaucoup plus que ne peuvent le faire les vaccins !
L’International Journal of Vaccines vient de publier un article d’information portant sur 44 types de vaccins commercialisés en France et en Italie. Je le cite : « présence de contaminants particulaires à ce jour inexpliquée. Ce sont des particules qui ne sont ni biodégradables ni biocompatibles : tungstène, titane, zirconium, hafnium, strontium, aluminium, nickel, fer, antimoine, chrome, or, zinc, platine, argent, bismuth, cérium, cuivre, plomb, étain ».
Or on trouve cependant du nano tungstène combiné ou non, dans les vaccins Infanrix Hexa, Typhérix, Priorix du laboratoire GlaxoSmithKline, dans le vaccin Menjugate de Novartis, dans les vaccins Prevenar et Meningitec du laboratoire Pfizer, dans le vaccin Meningitec de Wyeth Pharmaceutical (UK). Fin de citation.
« La présence de ces nanoparticules dans les vaccins permet d’étudier sous un angle nouveau les causes de certains effets secondaires. Elle permet également une nouvelle approche quant aux accidents post-vaccinaux et certaines maladies qui en découlent, autisme, sclérose en plaque, désordres immunitaires, maladies neuro-dégénératives, voire mort subite du nourrisson… », explique F. Morin sur le site de la newsletter Morpheus.
Pardons de t’interpeller encore
Et désormais les laboratoires proposent des vaccins à « tout va ! ». Rappelez-vous du vaccin destiné à nos adolescentes, le vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Mis en service alors qu’aucune étude efficace n’avait prouvé son bienfait. Il va être retiré.
« Les vaccinologues modernes s’intéressent à toutes les pathologies : les cancers, les maladies cardiovasculaires et même… (certains en parlent) un vaccin anti-gluten… », nous explique le Dr Michel de Lorgeril qui poursuit :
« Certains labos travaillent, sur un vaccin anticholestérol qui serait en fait « dirigé » contre des molécules participant au métabolisme du cholestérol, et pas contre le cholestérol lui-même ; avec l’idée absurde de diminuer le cholestérol circulant aux plus bas niveaux possibles…
Des centaines de vaccins sont aujourd’hui en préparation ou en phase d’essai dans le monde !
Dans la vaccinologie moderne, le business est roi ! L’industrie du vaccin n’est donc qu’à ses balbutiements ; (…) Dans ce contexte, chacun peut comprendre que les vaccins anti-polio ou anti-coqueluche (efficacité supposée et toxicité niée) sont une sorte de petit caillou dans la chaussure de l’investisseur… Il s’en fout l’investisseur de la polio et du tétanos.
Mais il ne se fout pas du tout du principe vaccinal ; ça il faut le défendre ; car en défendant le vaccin, on défend aussi les anticorps monoclonaux ; et aussi la vision moderne de la médecine dite personnalisée. »
C’est la raison pour laquelle les enjeux de ce débat sont énormes. Faire passer l’obligation des onze vaccins est capital pour l’industrie pharmaceutique. En écrasant la résistance, en remportant définitivement la victoire légale et médiatique en faveur des vaccins, elle s’ouvre la voie vers le marché le plus juteux du millénaire ! », fin de citation.
Alors oui, les laboratoires homéopathiques existent. Oui la médecine douce existe. Oui elle coûte encore plus cher. Mais lorsque je prends 3 granules de NUX VOMICA après un désordre hépatique qui trahit un repas copieux, je sais que je n’ingurgite aucun produit chimique. Lorsque je prends 3 granules de MAGNESIA PHO avec 3 granules de MERCURIUS, en m’abstenant de manger à ce moment du sucre et boire du lait, je sais que je soigne mon angine et je ne prends aucun produit chimique (Dalfagant, Fervex, Doliprane et d’autres encore). J'ai dépensé en tout et pour toute 4 à 5 €, combien coûte le Doliprane, le Fervex, la consultation médicale ???
Je sais que quelques gouttes d’essence essentielle de lavande que je passe avec mon doigt sur mes tempes en les massant, m’enlèveront mon mal de tête. Je sais aussi que je n’emploi jamais d’aluminium (Albal) pour envelopper mes produits alimentaires quels qu’ils soient car l’aluminium est très toxique sur la viande notamment. Je sais que le four à micro ondes est un poison violent. Je sais que les produits congelés et cuits en four à micro ondes sont une bombe à retardement pour l’organisme. J'évite la sédentarité, je marche...Je sais que tout cela les laboratoires pharmaceutiques le savent bien et ils ont mis à notre disposition une panoplie monstrueuse de médicaments.
Alors, pour conclure (pour moi) cette discussion, je m’oppose à la vaccination à outrance surtout sur un enfant de quelques mois qui n’a pas encore accompli ses défenses immunitaires. Je suis pour que l’on revienne au seul DTP, le reste des maladies infantiles sont parfois nécessaires pour nous accorder une immunité pour toute notre vie.
Enfin, j’aimerais vraiment savoir si les enfants de tous ces chercheurs, professeurs, ministres, laborantins, journalistes etc etc etc… vaccinent bien leurs enfants comme ils le préconisent…
IL EST GRAND TEMPS QUE L’ON SE REVEILLE !

le 22/07/2017 à 17h52
Se réveiller ?...moi je ne dors pas mais que faire ?
Pour le 3 ème de mes enfants j'ai refusé certain vaccin (je ne sais plus lequel)et j'ai bien fait par la suite il n'a plus été obligatoire.
Mais à part cette petite rébellion que j'ai eu la chance de maintenir jusqu'au bout car s'il avait été obligatoire il n'aurait pas été admis à l'école.
Pour la grippe je ne me suis jamais fait vacciner et du coup je suis suivie par certains qui se faisaient vacciner avant ...voyant que je me porte très bien sans vaccin ils ne le font plus
Je reconnais que pour certaines personnes âgées et fragiles ça peut être utile.

le 23/07/2017 à 14h29
Mais non ! pas 3x 11 vaccins !
déjà là, il y a un pb de comm' : on va vacciner contre maladie, mais n ne fera absolument pas11 injections, et 3 fois chacunes qui plus est
Les bras m'en tombent.

le 23/07/2017 à 14h32
"Et désormais les laboratoires proposent des vaccins à « tout va ! ». Rappelez-vous du vaccin destiné à nos adolescentes, le vaccin contre le cancer du col de l’utérus. Mis en service alors qu’aucune étude efficace n’avait prouvé son bienfait. Il va être retiré."
ah, eh bien j'entends que dans certains pays, on songe plutot à le proposer aux garçons aussi.
Pourquoi ? parce que transmission par voie sexuelle. Du coup, il serait faut de dire que seul les filles sont concernées

le 23/07/2017 à 15h13
Et les rappels ???



le 24/07/2017 à 17h32
Merci
Ce qui me gêne dans cet article c'est qu'il soit rédigé par un journaliste et non pas par un médecin. Sans doute s'est-il renseigné auprès du corps médical mais, il ne cite personne. D'autre part, nous savons que le Monde comme l'ensemble des journaux de la presse écrite, télévisée sont largement subventionnés par les laboratoires pharmaceutiques. Il faudra que je recherche dans mes archives, le montant alloué par ces laboratoires aux journaux.
Ce qui me gêne également c'est que, par deux fois, le journaliste cite des études, américaine pour l'une et allemande pour l'autre, sans donner leurs références, leur appelations, leurs origines. Le seul médecin que ce journaliste cite est le professeur Joyeux éminent cancérologue, mis sur la touche par l'ancienne Ministre de la Santé car il "gênait".
Si l'on regarde in fine au texte du Monde, il y a une série de questions posées qui, franchement font sourire. Par exemple, la question que certains médecins et professeurs soulèvent, c'est l'emploi de l'aluminium comme adjuvent dans les vaccins. La vaccination est nécessaire, certes mais les médecins et professeurs détracteurs disent qu'il faut supprimer l'aluminium comme adjuvent, ce qui représenterait des millions et des millions d'Euros en dépense pour la recherche pharmaceutique. Voici ce que disait le professeur R. Ghérardi en novembre 2016.
Par ailleurs, les pays scandinaves sont contre une vaccination aussi importante pour les tous petits et ne sont pas pour une vaccination à outrance.
Je joins ci-dessous un article d'une lettre médicale que beaucoup de français reçoivent s'ils sont abonnés. Dans cette lettre les études énoncées et articles sont suivies du nom de leur auteur.
La Lettre de Xavier Bazin
Cher(e) ami(e) de la Santé,
Emmanuel Macron a donc osé : l’année prochaine, 8 nouveaux vaccins seront obligatoires pour les nouveau-nés, en plus des 3 existants.
C’est son Premier Ministre lui-même qui l’a annoncé en grande pompe, le 4 juillet, lors de son discours de politique générale au château de Versailles !
Il donne raison à la précédente Ministre de la Santé, Marisol Touraine, qui avait déclaré haut et fort « la vaccination, ça ne se discute pas ».
Le problème c’est qu’en matière de santé, TOUT doit se discuter, scientifiquement.
Pensez aux antibiotiques : ils ont beau avoir sauvé des centaines de millions de vie, heureusement qu’on s’est permis de les discuter !
Car on est passé du « tout antibiotique » (dans les années 1970-1980) au bien connu « c’est pas automatique ! ».
Pourquoi c’est pas « automatique » ? Parce qu’on s’est aperçu (un peu tard) que ce médicament miracle avait aussi sa part d’ombre.
Chez le jeune enfant, les antibiotiques en excès ravagent la flore intestinale… et finissent par le rendre encore plus vulnérable aux infections – d’où les otites à répétition, par exemple.
Les adultes ne sont pas en reste : on sait aujourd’hui que la prise d’antibiotiques provoque une année entière d’effets secondaires [1], via la perturbation du microbiote.
Et puis il y a les cas graves, rarissimes, mais qui existent.
Il suffit d’une réaction allergique grave à un antibiotique pour que le patient meurt… à cause du traitement censé le guérir. [2]
Mais le pire, ce sont les risques « collectifs » de l’abus d’antibiotiques.
A force de les utiliser à tort et à travers, on a fait naître des super bactéries multi-résistantes, qui pourraient tuer jusqu’à 10 millions de personnes par an en 2050 ! [3]
Quand vous dîtes tout cela, aujourd’hui en 2017, personne ne vous accuse d’être « anti-antibiotique ».
Mais bizarrement, quand vous pointez certains risques des vaccins, on vous catégorise immédiatement comme « anti-vaccin » !
Pensez que le Professeur de médecine Henri Joyeux, qui n’a rien contre les vaccins en soi, a été radié de l’Ordre des Médecins en juillet 2016, simplement parce qu’il a pointé les dangers potentiels du vaccin contre l’hépatite B, ainsi que les risques des adjuvants comme l’aluminium !
La vaccination est-elle devenue une religion intouchable ??
Mais dites-moi : par quel miracle la vaccination serait-elle le seul acte médical au monde qui n’aurait que des bienfaits, et aucun effet secondaire ?
Pourquoi la critique des vaccins relève-t-elle du sacrilège, plutôt que de la discussion scientifique raisonnable et apaisée ?
N’en déplaise à Marisol Touraine et à Emmanuel Macron, je compte bien discuter de la vaccination avec vous, amis lecteurs.
Le moment venu, je vous appellerai aussi à vous mobiliser contre l’obligation vaccinale généralisée qu’on nous prépare.
Mais d’abord, je tiens à partager avec vous des faits dont on ne parle jamais.
Comme les antibiotiques, les vaccins peuvent susciter des problèmes individuels (lot défectueux, effets indésirables, réactions allergiques, etc.), mais aussi des problèmes collectifs.
Je vous parlerai plus tard des effets secondaires individuels des vaccins, gravement sous-évalués.
Aujourd’hui, je tiens à vous parler d’un problème « collectif » trop souvent passé sous silence, qui concerne le vaccin contre la rougeole.
Et figurez-vous que c’est un problème qui avait été anticipé depuis belle lurette !
Il y a 67 ans, la prophétie de l’OMS
Ecoutez-bien l’avertissement solennel de l’Organisation mondiale de la santé, en 1950 (il y a 67 ans !) :
« [Si un vaccin contre la rougeole était mis au point], son emploi devrait être limité, à moins qu'il ne soit prouvé qu'il confère une immunité pour toute la vie au prix de risques très restreints.
Une méthode assurant une immunité de quelques années seulement aurait pour effet de retarder l'apparition de la maladie (alors que c'est pendant la seconde enfance qu'elle présente le moins d'inconvénients et de dangers) jusqu'à l'âge adulte, où elle a un caractère plus sérieux. » [4]
Derrière un langage un peu compliqué, il y a un avertissement lumineux.
La rougeole est une maladie bénigne chez le jeune enfant, mais parfois grave chez l’adulte : elle peut causer des pneumonies sévères ou, pire encore, des infections du cerveau (« encéphalites »).
L’avantage d’avoir la rougeole étant enfant, c’est que vous ne pouvez plus l’attraper à l’âge adulte : vous êtes définitivement immunisé.
Ce que nous dit ici l’OMS, c’est qu’il serait dangereux de diffuser un vaccin contre la rougeole s’il ne protégeait pas 100 % de la population, à vie.
En échappant à la rougeole pendant l’enfance grâce au vaccin… le risque est qu’on l’attrape à l’âge adulte, au moment où elle peut faire de réels dégâts.
Eh bien c’est peut-être ce qu’on est en train de vivre en ce moment !!
Car nos autorités n’ont tenu aucun compte de cet avertissement de l’OMS !
Un vaccin qui n’est pas efficace à 100 %
On sait pourtant qu’aucun vaccin ne peut être efficace à 100 %, pas plus celui contre la rougeole qu’un autre.
S’agissant du vaccin contre la rougeole, voici ce qu’a déclaré le Dr Poland lui-même, pourtant président de la Société internationale des Vaccins et ayant des liens notoires avec le laboratoire pharmaceutique Merck :
« Plusieurs études ont démontré que 2 à 10 % des personnes immunisées avec deux doses du vaccin contre la rougeole n’arrivent pas à développer des niveaux protecteurs d’anticorps, et que cette immunité peut diminuer au cours du temps et résulter en une infection.
Par exemple, pendant les éruptions de rougeole aux États-Unis entre 1989 et 1991, 20 à 40 % des individus affectés avaient été immunisés avec une ou deux doses du vaccin. Pour une éruption en octobre 2011 au Canada, plus de 50 % des 98 individus avaient reçu deux doses du vaccin anti-rougeole. » [5]
Donc, selon cet éminent chercheur « pro-vaccin », 2 à 10 % des vaccinés ne sont pas suffisamment protégés contre la rougeole.
Et cela peut suffire, selon lui, à expliquer pourquoi la maladie « ressurgit » régulièrement.
De fait, en 1989, 1363 cas de rougeoles se sont déclarés à Québec, dans une population vaccinée à 99 %... Et 85 % environ de ceux qui étaient infectés avaient bel et bien été vaccinés. [6]
Conclusion du Dr Poland : « le fait que la couverture vaccinale soit incomplète n’est pas une explication valable de l’éruption de rougeole dans la ville de Québec ».
Autrement dit, contrairement à ce qu’on veut vous faire croire, ce n’est pas forcément la « faute » des non vaccinés si des cas de rougeoles ré-émergent.
Mais on peut même aller plus loin.
D’une certaine manière, ce sont les non-vaccinés qui sont mis en danger par le système de vaccination généralisée.
Comme le vaccin ne pourra jamais éradiquer totalement la rougeole, il empêche les non-vaccinés de se prémunir pendant l’enfance contre cette maladie dangereuse à l’âge adulte !
Et ce n’est pas tout : la vaccination généralisée pourrait aussi empêcher les mères de transmettre leurs précieux anticorps à leur bébé !
Les mères vaccinées protègent moins bien leurs nourrissons !
La mère transmet à son bébé des anticorps de deux façons : par le placenta, pendant la grossesse, puis par l’allaitement.
Le problème c’est que la vaccination produit moins d’anticorps que la « vraie » maladie… et les mères vaccinées transmettent donc moins d’anticorps contre la rougeole à leur nouveau-né. [7]
Pourquoi c’est important ?
Eh bien parce que la vaccination contre la rougeole n’est possible et recommandée qu’à partir de l’âge de 12 mois.
Le bébé ne peut donc pas être protégé par le vaccin avant l’âge d’un an : jusqu’à cet âge, sa santé dépend donc de la protection de sa mère… qui sera moins bonne si elle n’a pas eu la rougeole, même si elle est vaccinée !
Ce n’est pas un risque théorique. Il se trouve que c’est avant l’âge d’un an qu’un enfant infecté par la rougeole a le plus de risques de développer une complication rare mais sérieuse, la « panencéphalite sclérosante subaiguë » (PESS). [8]
A moins d’une éradication totale de la rougeole, la vaccination pourrait donc provoquer davantage de cas de PESS chez les enfants de moins de 12 mois… au moment où ils sont le plus fragile !
Mais on l’a vu, faute d’un vaccin efficace à 100 %, l’éradication de la rougeole est impossible.
Au total, la vaccination contre la rougeole aurait donc l’effet (particulièrement) pervers de mettre davantage en danger :
Les nourrissons de moins de 12 mois ;
Les adultes insuffisamment immunisés par le vaccin ;
Et les adolescents et adultes non vaccinés.
Mais, me direz-vous, d’un point de vue purement froid et rationnel, « coût/bénéfice », peut-être que cela vaut la peine de « sacrifier » ce petit groupe, peu nombreux, pour le bien du plus grand nombre ?
Ce n’est pas impossible… mais ce n’est pas sûr du tout !
Cela en vaut-il vraiment la peine ?
Rappelons que la rougeole n’a jamais été un grave problème de santé publique.
Avant la généralisation de la vaccination au début des années 1980, on comptait une trentaine de morts par an en France.
C’est 30 morts de trop, bien sûr, mais ce n’est pas le cataclysme qu’on nous annonce régulièrement en cas d’arrêt de la vaccination.
Peut-être même que les énormes sommes d’agent dépensées pour vacciner tout le monde pourraient être utilisées pour des programmes de prévention plus efficaces !
Mais surtout, il est encore trop tôt pour faire le bilan complet.
A court terme, la vaccination a réduit à presque zéro le nombre de morts de la rougeole… mais l’impact à long terme est beaucoup plus incertain.
Comme cela été craint par l’OMS il y a plusieurs décennies, on connaît depuis 2010 une légère recrudescence du nombre de morts de la rougeole… au moment où la génération qui n’a pas eu la maladie pendant l’enfance atteint l’âge adulte !!!
Ces « nouveaux » décès touchent très majoritairement les non-vaccinés (qui n’ont pas pu attraper la rougeole « naturellement » pendant l’enfance) mais également, pour une petite partie, des patients vaccinés !
Vous voyez pourquoi ça se discute !
Sans même parler ici des effets secondaires du vaccin, on voit bien que la réalité scientifique est beaucoup plus nuancée que ce qu’on veut nous faire croire.
Oui, on pourrait parfaitement se passer de la vaccination contre la rougeole, sans le moindre cataclysme pour la santé publique.
Oui, la vaccination a des effets collectifs « pervers », avec des conséquences graves et démesurées pour les non-vaccinés et les vaccinés non-immunisés.
Non, il n’est pas « évident » que le « bénéfice / risque » pour l’ensemble de la population soit favorable au vaccin : c’est possible, mais pas certain.
Dans le doute, les médecins ne seraient-ils pas inspirés de se rappeler de leur serment d’Hippocrate ?
« D’abord, ne pas nuire. »
Dans le doute, encore, nos autorités ne devraient-elles pas respecter ce droit fondamental, écrit noir sur blanc dans la loi Kouchner ?
« Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment. »
Monsieur Macron, méditez-bien ces deux phrases. Et arrêtez d’écouter la seule parole de l’industrie pharmaceutique !
Bonne santé,
Xavier Bazin
Sources :
[1] Same Exposure but Two Radically Different Responses to Antibiotics: Resilience of the Salivary Microbiome versus Long-Term Microbial Shifts in Feces, E. Zaura et al., American Society for Microbiology, 2015
[2] Allergique, elle décède après une perfusion de pénicilline, Le Parisien, 2012
[3] Securing new drugs for future generations: the pipeline of antibiotics, Jim O’Neil et al., the review of antimicrobial resistance, 2015
[4] Cité par Pierre Jean Arduin dans Pourquoi vacciner, 2016
[5] MMR Vaccine and Autism: Vaccine Nihilism and Postmodern Science, G. Poland, NCBI, 2011, traduit par Pierre Jean Arduin dans Pourquoi vacciner, 2016.
[6] Major measles epidemic in the region of Quebec despite a 99% vaccine coverage, N. Boulianne et al., NCBI, 1991
[7] Loss of passively acquired maternal antibodies in highly vaccinated populations: an emerging need to define the ontogeny of infant immune responses, HA. Gans et al., NCBI, 2013
[8] Subacute sclerosing panencephalitis, R. Garg, NCBI, 2002

le 24/07/2017 à 17h42
Les anti-vaccins, une minorité?
" Selon un récent sondage Odoxa, un Français sur deux est opposé à l'idée de rendre onze vaccins infantiles obligatoires. Or, en réalité, 70% des enfants de moins de 2 ans reçoivent déjà ces onze vaccins. " Extrait du dernier Lien de 41Bernard.
Non, encore une désinformation ! 70 % ne reçoivent pas 11 vaccins ! Ils reçoivent les 3 vaccins obligatoires DTP (nécessaires pour une inscription en milieu scolaire), et les autres vaccins sont recommandés par les médecins traitant sans informer les parents des problèmes sur les risques des effets secondaires. Si les parents étaient correctement informés, ils refuseraient, du moins je le pense, ces autres vaccinations ou du moins, ils auraient exigés d'être informés, ce qui n'est pas dans l'idée des laboratoires.
BFM est également largement subventionné par qui vous savez maintenant !

le 24/07/2017 à 18h39
[Lien]
[Lien]
[Lien]
[Lien]
ceci étant, je te remercie pour ces échanges.
Sur facebook, j'ai demandé des soruces à une personne ATvax, j'ai eu des liens vers des livres Amazon. là aussi, les bras m'en sont tombés.


le 25/07/2017 à 11h27
Oui, j'en ai entendu parler hier soir aux infos.
mais il faut faire la part des choses : qu'un ccin puisse poser problème, je peux l'entendre, mais pourquoi mettre TOUS les vaccins dans le même sacs ? pourquoi généraliser à vaccination= danger ?
quand tu achètes un steack haché et qu'il y a un rappel pour infection, alors faut-il dire que tous les steacks sont de la m... ? les bouchers de quartiers vont faire faillite.
Concernant l'origine de cette plainte [Lien] ,la médecin concernée a été reconnue coupable de fraude scientifique. n peut se demander si elle n'a pas biaisé ses sources ?
Et pour le moment,ils tentent une action. Donc rien d'extraordinaire. C'est le principe en France, chacun peut intenter une action.
Bizarrement , on n'entend que peut de monde se plaindre de lobbys de labos quant aux traitement s par homéopathie : et pourtant , ils s'en font du pognon là dessus , les labos. Idem pour les compléments alimentaires, genre gélules pour bronzer, gélules pour retrouver le sommeil....
Rien non plus sur la composition ces machins...
Enfin, concernant la rougeole, "« Malgré l'existence d'un vaccin sûr et efficace à un prix abordable, la rougeole reste une des principales causes de mortalité chez les enfants du monde entier et l'Europe n'est malheureusement pas épargnée », s'indigne le docteur Zsuzsanna Jakab, directrice régionale de l'OMS pour l'Europe. Il y a de quoi : la maladie a causé 35 décès en un an sur notre continent. La dernière victime est un garçon de 6 ans, en Italie, où plus de 3 300 cas de rougeole et 2 décès ont été rapportés depuis juin 2016. Ce pays est un des plus touchés en Europe. En Roumanie, la maladie a causé 31 décès en un an, avec 5 290 cas notifiés entre le 1er janvier 2016 et le 5 mai 2017. En un an, deux autres décès ont été rapportés : un en Allemagne et un autre au Portugal.
La France n'est malheureusement pas épargnée : entre le 1erjanvier et le 30 avril, 189 cas ont été notifiés, soit presque quatre fois plus que le nombre de cas déclarés sur la même période en 2016. Depuis le début de l'année, deux cas d'encéphalite et 18 pneumopathies graves ont été recensés (données de mai 2017).
Des progrès ont pourtant été réalisés : selon l'évaluation réalisée par la Commission régionale de vérification de l'élimination de la rougeole et de la rubéole, sur la base de données de 2015, au total 37 pays ont interrompu la transmission endémique. Mais il reste des poches où la couverture vaccinale est déficiente, provoquant ainsi la contamination de personnes non vaccinées, soit par choix, soit par difficulté d'accès au vaccin, soit par contre-indication en raison de leur état de santé.
Devant la persistance de la rougeole, plusieurs pays ont adopté des mesures visant à augmenter la couverture vaccinale, par exemple, la vérification des antécédants vaccinaux à l'entrée dans la vie scolaire. Pour mémoire, l'OMS recommande que chaque enfant éligible reçoive deux doses de vaccin à valence rougeole et encourage les adultes non vaccinés ou ignorant leur statut vaccinal à se faire vacciner.
Le bureau européen de l'organisation internationale a réuni en juin, à Rome, des experts et des responsables des autorités sanitaires italiennes pour déterminer les actions à mener afin d'augmenter la couverture vaccinale : notification des cas suspects, recherche des contacts, prophylaxie post exposition, entre autres. La Roumanie a lancé une campagne de communication nationale pour encourager la vaccination systématique."
(source: actualités médicales Univadis)

le 25/07/2017 à 18h25
Univadis n'est pas dans mes références et je le consulte très rarement. Je sais que cet organisme a été créé par les laboratoires.
Encore une fois, je précise bien que je suis pour la vaccination, pour que l'on vaccine les enfants mais je suis contre l'obligation imposée, la mise en prison de parents qui s'y refuseraient. Tu cites dans ton propos
[Lien]
Pour ce qui concerne la rougeole, je t’adresse ce lien. Il est très sérieux, crois moi :
[Lien]
Eh oui, je me méfie de l’OMS, de Facebook, de Bill Gate, des laboratoires où l’argent coule à flot !
Tu mentionnes dans ton propos les laboratoires homéopathiques et leurs bénéfices. Est-ce comparable avec les laboratoires pharmaceutiques ? Non. Lorsque j’achète un tube de granules, je le paye 2.40 €. Il n’a aucun effet secondaire et m’aide parfaitement dans ce pourquoi je l’ai acheté et je l’utilise pour un mois environ. Si j’achète une boîte de Doliprane, je vais la payer au pire 1.10 € et il n’y a que 8 cachets et une notice dans laquelle il y a une longue énumération d’effets secondaires. Et pour les vaccins il en est de même.
Alors, pour moi, là est ma conclusion pour cette rubrique et je remercie tous ceux qui ont lu et se sont exprimés. Et merci aussi à Justacote.com