Les blablas (Annexe pour éviter de faire dévier les sujets) : discussion - Page 176

le 10/01/2024 à 19h51
non je n'ai jamais connu ça

le 10/01/2024 à 20h04
Tant que tu n'as pas reçu de réponse de ton employeur, ne désespère pas

le 10/01/2024 à 20h11
Bonsoir,
oh zut de zut
Il me semble que ton employeur a l'obligation de te proposer un autre poste adapté à ta situation...avant c'était le cas, mais les choses changent tellement vite.
Vois avec lui quelle solution il propose, sinon un de mes fils est en invalidité, il touche une misère, à peine de quoi vivre, sa mutuelle lui donne un petit complément mais ça reste dur dur, il faudrait que tu puisses continuer à travailler sur une chaise.
Courage, te connaissant tu vas trouver une solution

le 11/01/2024 à 11h39
Courage Bettyoups tu finiras par trouver et accepter la meilleure des solutions ou la moins mauvaise ...
Je n'ai pas suivi ton dossier mais était-ce un AT ?
J'ai été confronté à certains problèmes mais je me garderai bien de te donner un avis car chaque cas est particulier car dépendant de beaucoup de normes notamment la convention collective ...
Courage Bettyoups, tu vas trouver ...
Bisous amicaux .

le 11/01/2024 à 14h21
Bonjour
Suis extrêmement désolé pour toi. Et comme l’écrit Adeloupian renseigne toi sur la convention collective qui est appliquée dans ta profession et s’il n’y a pas une prise en charge par une garantie complémentaire de ton employeur ?
Courage à toi Betty et je souhaite fortement que ton dynamisme et ta joie de vivre restent bien en toi et puis surtout ,et en attendant profites bien de Naomi

le 13/01/2024 à 16h16
Bonjour
J'ai donc reçu hier apm deux couples d'amis que je connais depuis 5 / 6 ans et avec lesquels je partage d'excellents moments généralement autour d'un bon menu ou d'un dessert gourmand soit chez l'un, chez l'autre ou encore chez moi.
Ces deux couples résidaient en région Parisienne, non loin de notre résidence à Marne la Vallée. Ils connaissent parfaitement mon fils et ma belle fille qui fut la présidente d'une association qu'elle avait créée car elle donnait des cours de danse du second Empire (valse, quadrille, polka et d'autres encore). Ces couples se sont installés dans ma ville tout à fait par hasard, au gré d'une visite de la région.
Hier, nous avons donc fêté les Rois autour d'une galette briochée que j'avais achetée. Vers la fin de l'après-midi, alors que nous évoquions la vie de nos enfants respectifs, avec des mots intimes parfois, sur des confidences, sur la généalogie, sur la mémoire familiale que nous devrions laisser à nos enfants, l'une des deux dames a subitement sombré dans une sorte d'immobilité, ne disant plus un mot, le regard immobile posé sur le sol. Nous l'avons interrogée sur son état de santé, posé de nombreuses questions. Son époux ne disait rien, il avait compris...
Alors que je lui proposais de sortir un peu à l'extérieur, elle a relevé la tête, a souri timidement et nous a tenu le récit extraordinaire que je partage avec vous.
" Oui, vous avez raison, il est très important que nos enfants connaissent la vérité sur la famille, sur les parents, les grands parents, la fratrie, commença-t-elle. Nous sommes allés voir nos enfants pour Noël (elle a deux garçons et une fille et 9 petits enfants) et nous nous sommes réunis dans une pièce de la maison et j'ai parlé à mes enfants, je leur ai expliqué ma vie de jeune fille puis ma vie avec mon époux durant une cinquantaine d'années.
Je suis née en Algérie en 1940. mes parents avaient une ferme et tout allait bien jusqu'au moment où mon père s'est mis à boire et notre vie devint infernale. Il nous bâtait, ne s'occupait plus de la ferme. Je fut donc placée chez les sœurs, à Alger, dans un couvent et ce sont elles qui m'ont éduquée, jusqu'à l'âge de mes 20 ans. Puis le couvent fut rapatrié à Marseille un peu avant l'indépendance de l'Algérie. J'avais 18 ans. J'ai passé alors un concours pour être institutrice et je le suis devenue. Tout allait bien pour moi.
A Marseille, sortant de l'école où j'exerçait, passant par un jardin pour aller rejoindre le couvent, j'ai été abordée par un homme, un officier de la marine marchande, il m'a entraînée de force et il m'a violée. J'ai pu rejoindre le couvent et j'ai gardé ce secret douloureux. Il faut dire qu'à mes 20 ans, je ne connaissais rien de l'amour, du pourquoi les règles, du comment on fait les bébés, du corps humain. L'enseignement des sœurs n'existait pas sur ces "matières" ! Au fil des semaines, je ressentais des malaises, je n'était pas bien. J'arrivais toujours à aller à mon travail à l'école pour exercer mon métier. Et puis un matin, on m'a interrogée sur la rondeur de mon ventre, enceinte de 4 mois et à ce moment, tout a basculé dans l'horreur pour moi.
J'ai été expulsée de l'école et de l'Education Nationale, ne pouvant plus exercer mon métier dans quelle qu'école que ce soit. Mon contrat a été déchiré, c'était la loi du moment. J'ai dû faire des ménages, travailler aussi en usine pour payer mon loyer et acheter de quoi manger. J'ai accouché seule d'un petit garçon, dans un hôpital et je me suis retrouvée seule avec mon bébé. Durant deux ans j'ai vécu l'enfer, en 1960 - 1962. Je n'en pouvais plus et j'avais songé souvent d'en finir avec mon bébé.
J'avais une soeur qui habitait Lyon. Je l'avais contactée pour qu'elle m'avance un peu d'argent. "Viens me voir mais sans ton bâtard" ! Elle pensait que je m'étais prostituée et avais eu cet enfant ainsi. Personne ne savait. J'avais honte et surtout, je ne savais pas vers qui me tourner pour m'aider. Je n'avais pas d'argent pour acheter mon billet de train pour aller la voir.
Un matin, je suis entrée dans une église de mon quartier. J'ai prié et je pleurais, j'étais désespérée. Le curé, un vieil homme, est venu vers moi et m'a demandé ce que j'avais. Je lui ai expliqué que je n'avais pas d'argent pour aller à Lyon, que j'avais un enfant, que je travaillais et que c'était la misère pour moi. Il m'a donné l'argent du billet en disant : "Tenez et surtout, ne ratez pas votre train !"
A Lyon Perrache, avant d'aller voir ma soeur, je me suis rendue au buffet de la gare. Assise à une table au fond de la salle devant un café et dans le brouhaha car il y avait beaucoup de monde et aucune table de libre, je pleurais en me cachant. Je n'en pouvais plus et je craignais que ma soeur ne me donne rien. Et, dans ce cas, comment repartir ?
Un jeune homme s'est approché de moi, me demandant s'il pouvait s'asseoir à ma table. J'ai dit oui. Il m'a regardée en silence et, au bout d'un moment alors que j'allais me lever pour partir, il m'a dit : "Dites-moi ce qu'il vous arrive, je vois que vous pleurez, dites-moi".
Sa voix était douce, il avait un regard tout, il était habillé très modestement et, je ne sais pas pourquoi, mais je me suis confiée à lui. Il a été le premier personnage à savoir mon viol et ma vie. J'ai parlé longtemps, il ne m'a jamais interrompue. Le fardeau sur mes épaules devenait de plus en plus léger. Il n'a jamais cessé de me regarder tout au long de mon histoire. Un bon moment plus tard, alors que je venais de lui dire que je devais partir, il m'a dit soudainement, avec un air sérieux mais calme, doux : "Je vais reconnaître votre enfant !"
Il était un jeune ingénieur dans l'industrie, trilingue (français, allemand, russe), travaillait en Allemagne puis ira sûrement en Russie pour quelque temps. Il a rajouté qu'il voulait s'occuper de moi. Il m'a demandait mes coordonnées pour me joindre. Il est parti avec sa promesse car il devait retourner en Allemagne.
Deux mois plus tard, il s'est rendu à Strasbourg où il a reconnu mon fils, il m'a demandé de le rejoindre à Strasbourg avec notre enfant. Nous nous sommes marié deux mois après et nous avons habité l'Allemagne.
Ce monsieur, vous le connaissez nous dit-elle, il est là, c'est Jacques."
Il nous a confirmé en tous points ce récit, nous précisant que son père, Directeur d'une usine métallurgique à Lyon et que sa mère ne voulaient pas entendre parler de ce mariage, ajoutant même que leur fils n'aurait aucun centimes de leur part ! Ils ont vécu tant bien que mal au gré des déplacements professionnels. Deux enfants ont rejoint la famille.
Leur garçon, l'aîné donc, est décédé en novembre dernier d'un cancer qui l'a cloué dans un fauteuil longtemps, son épouse est dans un Epad à Rochefort, atteinte d'une sclérose en plaque et ses jours son comptés. Ils vont rendre visite à leur belle fille deux fois par semaine.
Elle nous a dit, en conclusion, que Jacques, chaque matin, depuis le jour de leur mariage lui disait : "Je t'aime".
J'ai passé la nuit à me répéter la conversation d'hier. Quel magnifique et exceptionnel témoignage d'amour ! Pour moi, cette rencontre inouïe, induite au départ par le prêtre qui lui dit : "ne ratez surtout pas votre train !", dans l'église qu'elle n'a pas choisie pour y entrer, puis cette rencontre de nulle part de quelqu'un qui vit à Marseille et d'une autre personne qui vit en Allemagne, on ne peut pas parler de hasard, c'est impossible !!! Seule une Main Divine les a réunis, je ne vois pas d'autre explication.
Voilà donc cette histoire. Je vous disais dans un blablas précédant, que je réunissais dans un classeur des histoires que je commençais à romancer. En voilà une toute prête !

le 13/01/2024 à 18h02
Merci
Merci

le 13/01/2024 à 22h25
Bonsoir
Hé oui
Je connais très très bien une histoire aussi vraie que celle que tu nous a narré et avec aussi un parcours où la même main divine a réuni un couple qui est toujours uni même avec tous les aléas dus à l’âge.
Mais pas facile à raconter, peut-être un jour…
Bonne nuit à vous les amies et les amis.

le 14/01/2024 à 22h11
OSS, vraiment une très belle histoire bien émouvante..

le 15/01/2024 à 12h37
merci
une belle histoire bien émouvante...

le 16/01/2024 à 08h40
Quelle belle histoire
Parfois le "hasard" fait bien les choses. Si l'on peut parler de hasard ?

le 16/01/2024 à 09h29
Plutôt rencontres comme l'affirmait Paul Eluard...
Bonjour à tous
Planter de l'ail.
1 J'achète des têtes d'ail rose, bio, généralement chez Lidl car l'ail est de qualité
2 Je sépare les gousses que je n'epluche pas. Je trie les gousses ne gardant que celles qui sont saines et bien "dodues".
3 Je bine au cordeau un sillon profond d'une dizaine de centimètres.
4 Je dépose les gousses sur la terre, pointe en haut, en les enfonçant légèrement et en les espaçant de 20 cm environ avec une branche témoin
5 Je recouvre le sillon de terre sur 5 à 8 cm (au pif)
6 Je marche dans le sillon pour tasser la terre en faisant attention tout de même.
7 Je ne vais pas arroser car la terre est buen humide et demain il risquera de pleuvoir.
8. Je n'apporte aucun angrais tout au long de la culture, que celui que je fabrique moi-même.
9 Tout au long de l'année il faudra arroser et notamment lors des périodes sèches.
10 Lorsque l'ail sera arrivé à maturité, c'est à dire que ses feuilles seront devenues sèches, je l'arracherai à la fourche et le laisserai sur place qq jours au soleil pour que la tête sèche complètement.
11 Je le mettrai en tresses de 7 têtes et suspendues dans un coin sombre de mon garage.
12 Je vais planter 45 gousses ce matin.
13 Bisous

le 16/01/2024 à 09h32
Vous pouvez planter des gousses d'ail dans un large pot de fleur à raison de 5 / 6 gousses ou plus suivant le pot. Vous arrosez. Mettez le au soleil à l'extérieur.

le 22/01/2024 à 07h23
Voici notre miss Val de Saône au centre avec ses dauphines et les précédentes miss.

le 22/01/2024 à 08h50
merci pour cette jolie photo bien fraîche, bien belle et souriante la Miss, et rigolo avec le petit garçon.....

le 23/01/2024 à 17h30
Pour votre information
SILVANO TROTTA OFFICIEL
silvano_trotta
Je viens de recevoir un appel téléphonique, numéro non masqué et français. Le gars me dit qu'il y a des mouvements suspects sur mon compte bancaire issu de ma carte de crédit numéro XXX (bon numéro). Il me cite les achats suspects et me demande si c'est moi. Bien évidemment non. Je résume rapidement mais il savait énormément de choses sur mes achats précédents, et sur moi... Il me demande de me connecter à mon espace bancaire. Je lui réponds que je vais plutôt déposer plainte à la gendarmerie pour tentative d'escroquerie contre lui. Il éclate de rire, me félicite et me dit que je peux déposer plainte autant que je veux, il est dans un pays étranger et que la gendarmerie ne fera rien, ce en quoi il a totalement raison. Il m'a avoué avoir acheté sur le net toutes les informations dont il avait besoin. Si vous recevez un tel coup de fil, pas de panique devant les sommes annoncées. Raccrochez et contactez votre banque. Beaucoup de gens se font hélas avoir.

le 23/01/2024 à 18h41
Mais encore une fois, pourquoi répondre à des numéros que l'on ne connaît pas !!!!! Les personnes qui veulent vous parler vous laisseront un message car nous avons un RÉPONDEUR !

le 23/01/2024 à 20h19
Bien sûr
Merci

le 23/01/2024 à 20h57
D'accord,

le 23/01/2024 à 23h43
Merci